Comtesse Reitschwert de la croisade d'ébène

*observe la scène , assis dans son coin, son casque ne laissant voir que ses pupilles.*
*Son attention particulièrement tournée vers la comtesse*

Une bonne raison?..Une bonne raison!
J'en ai trois,bonne raison!

*désigne Muirgheal*Ca!
*désine Ulkar*Ca!
*désigne la Comtesse*Et ca!
Une alliée!Un...Un!
Et une "Chevalière de la mort"!*fait des guillemets avec ses doigts*

*reste perplexe* Shocked

" Il vous en faut peu... "

*Puis rit de bon coeur et se ressert un verre de bourbon*

" Je viens dans cette taverne passive, et je me fais menacer. Ici mercenaire Kragen, nous ne somme pas sur des terres contestées. Mesurer vos paroles sur cette tablée... Menacer une comtesse en désignant ses invités comme appuie, ce n'est pas loyal. "

*La comtesse fixe Dame Muirgheal et Sir Ulkar en essayant de percevoir une menace. La comtesse soulève sa robe et pose sa main sur sa cuisse ou se trouve une dague.*

Un homme entra dans la taverne, il portait une longue lance et un bouclier arborant les armes de l'aube d'argent. Un bruit de cliquetis de métal précédait chacun de ses pas.
Le visage portant les stigmates de plusieurs décennies de combat, sa démarche rappelait celle d'un réprouvé.

L'homme jeta un coup d'oeil rapide sur la salle. Il vit alors la comtesse avec qui il avait conclus un accord secret la veille. Mais la dame étant occupée avec certains convives, il se dirigea directement vers le comptoir.

Après avoir demandé un litron de bourbon, il s'installa sur une table dans un coin.
La discutions semblait houleuse, le chevalier, une main posé sur son épée et l'autre sur sa chope, se tenait prêt à intervenir en cas de problème.
Il attendit patiemment que la comtesse en finisse avec ses petites affaires afin qu'il puisse enfin traiter avec elle.

<sourit à son frère de nouveau>

Allons comtesse pardonnez à mon frère, il ne sait pas vraiment ce qu'il dit ou ce qu'il fait

Le sourire de Muirgheal passait successivement de la jubilation, au cynisme, a la mélancolie, a la cruauté et frolait par instant les frontieres de la folie ; la jeune femme éprouvant de toute évidence quelque difficulté a selectionner le masque idoine.

La comtesse garde une main sur sa cuisse. Elle se méfie, les lieux ne sont plus sur. Sans armures, avec une simple dague, la comtesse ne tiendrait pas longtemps sous un guétapan. Mais elle reste passive.

"C'est donc comme ça que les visiteurs sont accueillis dans cette demeure... Je ne représente aucune menace a votre encontre et pourtant vous désirez m'éliminer."

*Se lève de sa chaise et se rapproche lentement de Kragen en se penchant au dessus de la table laissant apparaître son décolleté provoquant puis lui chuchote*

" Avant de dire de telles sottises, mercenaire, réfléchissez bien. Vous ne menacez pas qu'une personne, mais une croisade entière... Serez vous a la hauteur pour me passer sur le corp " * lui fait son plus beau regard *

En ce mettant dans cette position, elle se mit en danger. Dans la logique, un simple coup de dague pourrait la décapiter sur le champs mais elle ne s'en inquiéta pas pour autant.

Une approche interessante, dame Comtesse, assurement.
Mais je doute qu'elle facilite les cogitations de notre ... ami.

Méprenez-vous,"Comtesse".Dans notre monde le grand mange le petit...
*affiche un sourire narquois*

De plus...*se tourne vers Muirgheal*

Il n'y a qu'une femme qui puisse me faire tourner la tête...
Et je ne la vois pas dans les parrages...
Du moins..Pas pour l'instant...

En reculant, la comtesse voit par dessus l'épaule de Kragen son courageux chevalier. Il en fallut peu pour qu'il y est du grabuge. A la vue de ce visage familier, elle se calma et rabaissa sa défense. La demoiselle de l'ombre s'assoit et fait un signe de la tête qu'elle avait vu Sir Nietz et qu'elle ne tentera rien malgrés les menaces lancées contre elle.

*se lève et renverse son verre sur la table et le laisse tomber*

" Je suis très déçu d'avoir partagé mon temps avec vous. Menacer une inconnue n'est pas digne d'un endroit où la neutralité est de mise. Je vous laisse copuler avec les chiens et que je ne vous croise pas sur mes terres. "

La comtesse se dirige vers Sir Nietz. Elle posa sa main contre son épaule et lui chuchote a l'oreille:

" Je suis ravi de votre présence ici, mais nous ne somme pas en sécurité. Le chien labas *désigne Kragen* et sa fiancé *désigne Ulkar* apprécie guère les visiteurs de cette auberge. Partons! "

*La comtesse déposa une petite saccoche de pièces pour le tavernier et se recoiffa en attendant Sir Nietz *

[HRP: c'est mon personnage qui vous insulte, moi j'vous aime bien ^^ .Le prenez pas mal. Bisous Very Happy

]

Prenant une moue boudeuse, Muirgheal se levait visiblement courroucée que la situation en reste la.

Pas satisfaite ...

Faisant volte face sur ses talons, l'humaine s'en retournait vers le comptoir.

*semble amusé*

-L'alliance se corromp avec ce genre de..chose...
Je comprend mieux leur manque de vigueur...

*sourit en coin,assouplissant son poignet*

les idiots d'ébènes n'ont decidement rien compris, qu'importe, il n'en sera que plus facile d'en venir à bout

*regarde les deux frères , et laisse échapper un rire léger derrière son casque*

* Le chevalier se tourne vers la comtesse *

-Très chere comtesse... tout est arrangé selon le plan.

* Il regarde autour de lui et baisse la voix *

-L'aube d'argent ne se doute de rien, toutes les attentions sont tournées vers Stratholme... Nous devrions être tranquiles pour la suite.

* Nietz léve son verre et le bois d'un coup *

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